35 questions pour se connaître
Je lis régulièrement une autrice blogueuse
Elle a récemment publié un post "35 questions pour se connaître", auquelles les auteur/es peuvent répondre et ainsi faire une chaine d'auto-interview.
J'ai trouvé l'idée sympa et je me prête au jeu.
Voici la première partie de mes réponses.
Pour voir les questions-réponses de Marièke
https://www.mecanismes-dhistoires.fr/tag-ecriture-35-questions-pour-se-connaitre/
Elle a récemment publié un post "35 questions pour se connaître", auquelles les auteur/es peuvent répondre et ainsi faire une chaine d'auto-interview.
J'ai trouvé l'idée sympa et je me prête au jeu.
Voici la première partie de mes réponses.
Pour voir les questions-réponses de Marièke
https://www.mecanismes-dhistoires.fr/tag-ecriture-35-questions-pour-se-connaitre/
1. Qui es-tu ?
Myriam Supplicy, 40 ans pour encore quelques jours, mère de famille, comptable et écrivaine
Myriam Supplicy, 40 ans pour encore quelques jours, mère de famille, comptable et écrivaine
2. Où peut-on te retrouver ?
Sur mon blog où je partage mes textes et mes retours de lecture https://myriamsupplicy.blogspot.com/,
J’ai une page auteure sur Facebook, avec une valeur ajoutée par des actualités, jeux, humeurs et textes d’autres écrivain/es.
Instagram révèle plus mon côté maman et mon côté lectrice.
Je suis également sur LinkedIn, mais pas particulièrement pour mon activité d’écriture. Peut-être que cela changera.
Sur mon blog où je partage mes textes et mes retours de lecture https://myriamsupplicy.blogspot.com/,
J’ai une page auteure sur Facebook, avec une valeur ajoutée par des actualités, jeux, humeurs et textes d’autres écrivain/es.
Instagram révèle plus mon côté maman et mon côté lectrice.
Je suis également sur LinkedIn, mais pas particulièrement pour mon activité d’écriture. Peut-être que cela changera.
3. Depuis combien de temps écris-tu ?
J’ai écrit une première histoire à 5 ans, que j’ai retravaillée dernièrement et qui est chez ma graphiste et illustratrice Stroberry
J’ai écrit une première histoire à 5 ans, que j’ai retravaillée dernièrement et qui est chez ma graphiste et illustratrice Stroberry
4. Quel a été ton premier projet ?
Mon premier vrai projet : Infernale Angélique, un roman que j’ai écrit il y a 19 ans.
L’histoire d’une jeune femme qui se rebelle contre les ambitions de ses parents pour son avenir. Elle essaie de changer de vie pour les éblouir, mais n’y arrive pas et se retrouve au bord du suicide. Une inconnue la sauve et tentera de l’accompagner au-delà de ses limites.
5. Quand as-tu fini ton premier projet ?
La première version en 2003. Je l’ai repris en 2017 et il a été publié par une petite maison d’édition à compte d’éditeur Prem’Edit en septembre 2018.
6. Quels sont les enseignements que tu en as tiré ?
Que j’en étais capable et que ce que j’écris est plutôt pas mal.
7. As-tu fait ton coming out d’auteur/e ? As-tu annoncé à tes proches (famille, collègue, couple,…) que tu écrivais ?
Certaines personnes de mon entourage savaient que j’écrivais avant ma première publication.
Pour les autres, j’ai fait mon coming out peu avant d’avoir le « oui » de ma maison d’édition.
J’ai repensé à Sister Act II, où Whoopi Goldberg disait à une élève, interprétée par Lauryn Hill, quelque chose du genre : « Si tu te réveilles et si tu t’endors avec l’envie de chanter, c’est que tu es une chanteuse ».
Mon premier vrai projet : Infernale Angélique, un roman que j’ai écrit il y a 19 ans.
L’histoire d’une jeune femme qui se rebelle contre les ambitions de ses parents pour son avenir. Elle essaie de changer de vie pour les éblouir, mais n’y arrive pas et se retrouve au bord du suicide. Une inconnue la sauve et tentera de l’accompagner au-delà de ses limites.
5. Quand as-tu fini ton premier projet ?
La première version en 2003. Je l’ai repris en 2017 et il a été publié par une petite maison d’édition à compte d’éditeur Prem’Edit en septembre 2018.
6. Quels sont les enseignements que tu en as tiré ?
Que j’en étais capable et que ce que j’écris est plutôt pas mal.
7. As-tu fait ton coming out d’auteur/e ? As-tu annoncé à tes proches (famille, collègue, couple,…) que tu écrivais ?
Certaines personnes de mon entourage savaient que j’écrivais avant ma première publication.
Pour les autres, j’ai fait mon coming out peu avant d’avoir le « oui » de ma maison d’édition.
J’ai repensé à Sister Act II, où Whoopi Goldberg disait à une élève, interprétée par Lauryn Hill, quelque chose du genre : « Si tu te réveilles et si tu t’endors avec l’envie de chanter, c’est que tu es une chanteuse ».
![]() |
Sister Act 2 , Touchstone Pictures |
Je l’ai adapté pour moi : « Si
tu te réveilles et si tu t’endors avec l’envie d’écrire, c’est que tu es une
écrivaine ». J’ai alors ouvert ma page auteure Facebook, et je l’ai
partagée à mes amis.
(
12. As-tu un défaut
d’écrivain/e ?
Je ne décris pas mes personnages. Je dois prendre sur moi pour glisser quelques indices pour que les lecteurs devinent à quoi ils ressemblent. Je considère qu’en écrivant que du réaliste, tous ont deux yeux, un nez, une bouche, des bras et des jambes. Je ne comprends pas ce que cela apporte à l’intrigue de savoir si Untel est blond les cheveux courts ou chauve et noir de peau.
16. Café ou thé ?
Pas de café pour moi, merci. Du thé depuis qu’une amie m’a offert une machine à thé. Mais avant, je ne buvais pas de boisson chaude, sauf en cas de maladie.
Tout d’abord finir la rédaction du premier jet de A contretemps.
8. Pourquoi écris-tu ?
Par nécessité ! (pas financière, mentale plutôt)
Pour me vider la tête de tous les scénarios qui la remplissent
Parfois pour aider les autres, pour leur dire qu’ils ne sont pas seuls dans cette situation (par exemple avec La Résidence, un texte sur le placement en institution d’une femme atteinte par Alzheimer).
Si vous n'avez pas Derrière la portre du médecin, vous pouvez acquérir cette nouvelle seule à ce lien : La Résidence de Myriam Supplicy
Par nécessité ! (pas financière, mentale plutôt)
Pour me vider la tête de tous les scénarios qui la remplissent
Parfois pour aider les autres, pour leur dire qu’ils ne sont pas seuls dans cette situation (par exemple avec La Résidence, un texte sur le placement en institution d’une femme atteinte par Alzheimer).
Si vous n'avez pas Derrière la portre du médecin, vous pouvez acquérir cette nouvelle seule à ce lien : La Résidence de Myriam Supplicy
9. Quel(s) genre(s)
écris-tu ?
Principalement du réaliste contemporain, mais il m’arrive d’écrire des contes, des thrillers ou de faire un saut dans le passé pour m’amuser. J’ai même rédigé une biographie.
Principalement du réaliste contemporain, mais il m’arrive d’écrire des contes, des thrillers ou de faire un saut dans le passé pour m’amuser. J’ai même rédigé une biographie.
10. As-tu un thème de
prédilection ?
En réfléchissant à cette question, je réalise que j’aborde les problèmes de la vie courante, comme le boulot, les rendez-vous médicaux, le coût de la vie. Cela semble barbant, mais j’aime retourner la réalité dans tous les sens pour en tirer une histoire surprenante.
En réfléchissant à cette question, je réalise que j’aborde les problèmes de la vie courante, comme le boulot, les rendez-vous médicaux, le coût de la vie. Cela semble barbant, mais j’aime retourner la réalité dans tous les sens pour en tirer une histoire surprenante.
11. Quel est ton personnage
préféré dans tout ce que tu as écris ?
Ils ont tous des bons et des mauvais côtés. Mes personnages principaux sont les pires. Mélanie mériterait des claques, Jessica est trop coincée.
Alors s’il fallait choisir, là, maintenant, je prendrais Madeleine Reblochon, précédemment Gautier et Prethel, alias Maryline Bottier quand elle était meneuse de revue (A contretemps, en cours d'écriture)
Ils ont tous des bons et des mauvais côtés. Mes personnages principaux sont les pires. Mélanie mériterait des claques, Jessica est trop coincée.
Alors s’il fallait choisir, là, maintenant, je prendrais Madeleine Reblochon, précédemment Gautier et Prethel, alias Maryline Bottier quand elle était meneuse de revue (A contretemps, en cours d'écriture)
(

Je ne décris pas mes personnages. Je dois prendre sur moi pour glisser quelques indices pour que les lecteurs devinent à quoi ils ressemblent. Je considère qu’en écrivant que du réaliste, tous ont deux yeux, un nez, une bouche, des bras et des jambes. Je ne comprends pas ce que cela apporte à l’intrigue de savoir si Untel est blond les cheveux courts ou chauve et noir de peau.
13. Ta qualité d’écrivain/e,
c’est quoi ?
On me dit souvent que mes textes sont faciles à lire. Je trouve que je sais donner de la vie à un texte, le rendre vivant, notamment par de nombreux dialogues.
On me dit souvent que mes textes sont faciles à lire. Je trouve que je sais donner de la vie à un texte, le rendre vivant, notamment par de nombreux dialogues.
14. Quelle est la pire critique
que l’on pourrait te faire en tant qu’auteur/e ?
« Te lire est ennuyant ».
« Te lire est ennuyant ».
15. Et la meilleure ?
J’apprécie qu’on me dise qu’on a lu l’un de mes livres d’une traite, qu’on ne peut pas le lâcher, que c’est émouvant ou touchant.
Le compliment qui m’a le plus marqué était : « ça ressemble à du Alphonse Daudet »
J’apprécie qu’on me dise qu’on a lu l’un de mes livres d’une traite, qu’on ne peut pas le lâcher, que c’est émouvant ou touchant.
Le compliment qui m’a le plus marqué était : « ça ressemble à du Alphonse Daudet »

Pas de café pour moi, merci. Du thé depuis qu’une amie m’a offert une machine à thé. Mais avant, je ne buvais pas de boisson chaude, sauf en cas de maladie.
17. Grignotage ou pas ?
Pas pendant que j’écris. Un fruit, parfois. Mais quand je suis sur un texte, je ne pense qu’à ça et j’oublierais facilement de manger ou de boire.
Pas pendant que j’écris. Un fruit, parfois. Mais quand je suis sur un texte, je ne pense qu’à ça et j’oublierais facilement de manger ou de boire.
18. Matin ou soir ?
N’importe quand, mais dans les faits, c’est plutôt le soir, après que les enfants soient couchés.
N’importe quand, mais dans les faits, c’est plutôt le soir, après que les enfants soient couchés.
19. Bibliothèque ou
café ?
Plutôt isolée et dans le silence. Ou avec des protections sur les oreilles. Quand j’ai besoin d’inspiration pour une ambiance, je me rends dans un lieu, mais je n’y écris pas. Je capte et je mémorise seulement les éléments nécessaires à étoffer mon texte.
Plutôt isolée et dans le silence. Ou avec des protections sur les oreilles. Quand j’ai besoin d’inspiration pour une ambiance, je me rends dans un lieu, mais je n’y écris pas. Je capte et je mémorise seulement les éléments nécessaires à étoffer mon texte.
20. Musique ou silence ?
Silence. Ou musique classique pour couvrir un bruit gênant.
Silence. Ou musique classique pour couvrir un bruit gênant.
21. Si c’est en musique, tu
nous partages ta playlist du moment ?
Les quatres saisons de Vivaldi
Casse-noisette de Tchaïkovski
Les suites de Bach au violoncelle
Les quatres saisons de Vivaldi
Casse-noisette de Tchaïkovski
Les suites de Bach au violoncelle
22. Carnet ou
ordinateur ?
Ordinateur. J’ai trop l’habitude de triturer mes phrases, de couper coller, commencer par la fin, changer trois mots par phrase pour que cela reste faisable sur du papier. Mais j’admire des personnes comme Jean d’Ormesson qui peuvent rendre un manuscrit parfaitement lisible à leur éditeur.
Ordinateur. J’ai trop l’habitude de triturer mes phrases, de couper coller, commencer par la fin, changer trois mots par phrase pour que cela reste faisable sur du papier. Mais j’admire des personnes comme Jean d’Ormesson qui peuvent rendre un manuscrit parfaitement lisible à leur éditeur.
23. Un projet ou
plusieurs ?
Plusieurs !
Plusieurs !
24. Quel est ton rituel
d’écriture ?
Je n’ai pas de rituel d’écriture. Dès que j’ai un moment, j’allume l’ordinateur et je vide la suite du texte qui trainait quelque part dans ma tête.
Souvent je relis le dernier paragraphe que j’ai écrit pour me remettre dans le bain. Mais pas systématiquement.
Si j’ai une nouvelle idée à un moment inopportun, je la note et je la reprends quand j’ai du temps.
Par exemple, j’ai 14 lignes sur mon téléphone pour le chapitre 5 du nouveau projet, alors que le 4ème est juste entamé de A contretemps.
Je n’ai pas de rituel d’écriture. Dès que j’ai un moment, j’allume l’ordinateur et je vide la suite du texte qui trainait quelque part dans ma tête.
Souvent je relis le dernier paragraphe que j’ai écrit pour me remettre dans le bain. Mais pas systématiquement.
Si j’ai une nouvelle idée à un moment inopportun, je la note et je la reprends quand j’ai du temps.
Par exemple, j’ai 14 lignes sur mon téléphone pour le chapitre 5 du nouveau projet, alors que le 4ème est juste entamé de A contretemps.
25. Quelle est ton application
d’écriture préférée ?
J’en utilise aucune.
J’en utilise aucune.
26. Tu nous parles de ton
bureau ?
La table à manger, le bureau d’un de mes enfants quand ils sont absents, le canapé, un lit, une chaise longue, peu importe.
La table à manger, le bureau d’un de mes enfants quand ils sont absents, le canapé, un lit, une chaise longue, peu importe.
27. Pantser (qui écrit
sans plan) ou planner (qui fait un plan rigoureux avant d’écrire) ?
Plutôt sans plan au début, puis quand l’intrigue est posée, un tableau Excel pour vérifier la cohérence, la temporalité, la synchronisation des intrigues secondaires et pour m’aider à suivre le fil de mes pensées.
Plutôt sans plan au début, puis quand l’intrigue est posée, un tableau Excel pour vérifier la cohérence, la temporalité, la synchronisation des intrigues secondaires et pour m’aider à suivre le fil de mes pensées.
28. As-tu une méthode
d’écriture ? Laquelle ?
Ecrire, what else ?
Ecrire, what else ?
29. Comment se passe, en gros,
l’écriture d’un roman pour toi ? Quelles sont les grandes étapes ?
La conception dans ma tête (entre quelques jours et quelques mois),
L’écriture du premier jet (entre 6 mois et une année),
La relecture/réécriture pour le fond,
La relecture/réécriture pour la forme,
La correction du français (grammaire et orthographe),
La mise en page.
La conception dans ma tête (entre quelques jours et quelques mois),
L’écriture du premier jet (entre 6 mois et une année),
La relecture/réécriture pour le fond,
La relecture/réécriture pour la forme,
La correction du français (grammaire et orthographe),
La mise en page.
30. Quels sont les projets que
tu as terminés ?
Infernale Angélique, mon premier roman dont j’ai parlé à la question 4.
Infernale Angélique, mon premier roman dont j’ai parlé à la question 4.
Derrière la porte du médecin, un recueil de nouvelles très personnelles,
qui racontent des rencontres entre patients et professionnels de la santé.
Elles mêlent tendresse, humour et piqure de rappel.
Par amour pour mes enfants, une biographie pour une femme au destin extraordinaire, qui s’est battu pour récupérer la garde de ses enfants, placés par erreur dans des foyers d’accueil.
https://myriamsupplicy.blogspot.com/2020/02/enfants-places-par-le-spj-un-livre-pour.html
Par amour pour mes enfants, une biographie pour une femme au destin extraordinaire, qui s’est battu pour récupérer la garde de ses enfants, placés par erreur dans des foyers d’accueil.
https://myriamsupplicy.blogspot.com/2020/02/enfants-places-par-le-spj-un-livre-pour.html
Vous trouverez ces trois livres
en version numérique sur Amaz*n.
Pour la version papier, adressez-vous à moi directement.
Pour la version papier, adressez-vous à moi directement.
31. Quel est ton projet en
cours ?
Tout d’abord finir la rédaction du premier jet de A contretemps.
Un thriller en co-écriture avec deux acolytes.
Un nouveau projet de roman, qui rentrerait dans la veine de Derrière la
porte du médecin, mais avec un seul personnage principal et un autre thème
que la santé.
Et l’album enfant en illustration…
Et l’album enfant en illustration…
32. Aimerais-tu devenir
écrivain/e à plein temps ?
Je ne crois pas, non. J’aime me nourrir de la vraie vie. J’aime entrecouper mes séances d’écriture. Si je devais faire cela professionnellement, j’aurais peur que cela me bloque. Ou me fasse sortir des textes créés sous pression. Je ne me vois pas écrire pour écrire. J’aime écrire, c’est un hobby, comme d’autres font du sport. Cela me coût moins cher qu’un abonnement au fitness. Cela me donne le sourire et cela entretient mes poignées d’amour.
Je ne crois pas, non. J’aime me nourrir de la vraie vie. J’aime entrecouper mes séances d’écriture. Si je devais faire cela professionnellement, j’aurais peur que cela me bloque. Ou me fasse sortir des textes créés sous pression. Je ne me vois pas écrire pour écrire. J’aime écrire, c’est un hobby, comme d’autres font du sport. Cela me coût moins cher qu’un abonnement au fitness. Cela me donne le sourire et cela entretient mes poignées d’amour.
33. Un conseil pour quelqu’un
qui commencerait à écrire ?
Fais-toi plaisir ! Comme l’a dit Eric-Emmanuel Schmitt dans L’homme qui voyait à travers les visages : « Ecris pour écrire et non pour avoir écrit ».
Et ne t’arrête pas avant d’être satisfait du résultat. Si tu te dis « c’est de la m…. », regarde ce qui ne va pas en face. Souligne les passages / scènes qui ne te conviennent pas. S’il faut reprendre l’entier de l’histoire, vas-y ! ça vaut le coup de finir un texte et d’en être fier.
Fais-toi plaisir ! Comme l’a dit Eric-Emmanuel Schmitt dans L’homme qui voyait à travers les visages : « Ecris pour écrire et non pour avoir écrit ».
Et ne t’arrête pas avant d’être satisfait du résultat. Si tu te dis « c’est de la m…. », regarde ce qui ne va pas en face. Souligne les passages / scènes qui ne te conviennent pas. S’il faut reprendre l’entier de l’histoire, vas-y ! ça vaut le coup de finir un texte et d’en être fier.
34. Une autre question
à laquelle tu souhaiterais répondre ?
Pas moi, mais si vous en avez, n’hésitez pas !
Pas moi, mais si vous en avez, n’hésitez pas !
* J'ai supprimé une question à propos de mes lectures. Sur ce blog, il y a une catégorie Commentaires sur mes lectures et Auteurs bien-aimés qui répondront largement à cette question.
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