La Révolte des Bonnets Rouges, de Christophe Barraud
4e de couverture (c'est rare que je vous la mette) :
Cela dure depuis trop longtemps. Des millions de nains de jardin sont prisonniers de leur condition et réduits en esclavage par les humains, été comme hiver. Mais secrètement une révolution se prépare: les nains sont prêts à déclarer leur indépendance.
Alors que faire lorsque M. Glarbouis décide de se débarrasser des principaux meneurs de la Grande Révolte dans une forêt lointaine, la veille du coup d’État qui fera basculer le monde ?
Histoire d'une lecture
Pourquoi je vous ai mis exceptionnellement la 4e de couverture ? Pour vous montrer que ce n'est pas l'élément déclencheur de l'achat de ce livre. Ce résumé met en avant tout ce que je déteste (voilà comment je définis mes goûts niveau lecture : "Je lis volontiers les romans réalistes, je n'aime pas les romans noirs, SF, ni Fantasy").
Alors pourquoi je l'ai lu : j'ai d'abord croisé son auteur sur les réseaux sociaux. LinkedIn, où j'avais apprécié la dextérité de sa plume, fraiche et dynamique. La presse régionale s'est emparé de Christophe Barraud. Puis finalement une vraie rencontre dans un salon littéraire où je présentais aussi mon roman. Je lui avais dit que je passerai sur son stand. Le hasard a fait que nous étions l'un en face de l'autre. J'ai choisi les nains de jardin (que j'avais déjà repérés et qui me semblaient beaucoup + amusants que Malléable, un thriller😱)
Et j'ai eu raison.
Mon avis :
Malgré son petit goût de guérilla entre deux peuplades (ce qui est habituellement totalement rédhibitoire pour moi),
💗 j'ai souris aux nombreux clins d’œil, aux multiples références (dont certaines m'auront échappé).
💗J'ai aimé la transformation du couple Garbouis, si plan-plan, mais si attachant quand mari et femme travaillent main dans la main,
💗 La découverte des personnages en céramique.
💗 J'ai aimé les accrochages entre humain,
💗 ainsi que les réalités de la hiérarchie : le chef, les leaders, une vraie leçon de management.
💣 J'ai détesté le plan d'Yvan.
💣 Et comme dirait mon mari : "il y a des morts et des tués" (gage pour lui d'un bon roman).
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