Prendre la parole, les résultats du coaching (3)

Pour mieux m’exprimer, il a fallu :
  • prendre confiance en moi
  • gérer le trac qui me paralysait dans des situations déstabilisantes
  • apprendre à utiliser mes émotions comme une ressource et non pas comme des ennemies
Un travail d'équipe
 

Un sacré défi à relever pour une coach en une douzaine d’heures !

Et j’avoue : un sacré travail sur moi.



 
Les résultats ?
  • Je suis à l’aise au téléphone. Mes nœuds dans le ventre sont partis. Finis les longs échanges de mails stériles. Je n’hésite plus à régler des problèmes, à fixer des rendez-vous, à demander des précisions en passant un coup de fil.
  • Je parle posément. Depuis plusieurs semaines, aucun interlocuteur m’a demandé de répéter une phrase. Ils ont tous compris ce que je voulais dire du premier coup.
Crier moins ?
  • Je crie beaucoup moins sur mes enfants. En situation de crise ou pendant les devoirs, je reste zen. Et j’essaie de leur transmettre les méthodes que j’ai apprise à l’Exprimerie
  • Dans les situations de conflit, je garde mon calme. Je n’explose plus en larme et ne lâche plus un torrent de colère contre mon vis-à-vis. Je prends le temps d’entendre ce que dit l’autre et de me positionner intérieurement. Je laisse défiler mes ripostes mitraillettes dans ma tête et j’arrive à construire une réponse, non pas inoffensive, mais en rapport avec ce que je veux dire. Une réponse où j’exprime mes attentes ou mes capacités (ou mes limites) à répondre à celles de mon interlocuteur.
  • Plusieurs amis m’ont trouvée posée et rayonnante « comme si on avait rallumé une lumière qui s’était éteinte ».
rallumer une lumière qui s'est éteinte

Comment ?
  • Les silences sont mes amis.
  • Je respire
  • J’articule
(Je n’en dirai pas plus car, comme je vous l’ai dit au départ, je ne dévoilerai pas la méthode de Sandra Amodio, dont c’est le métier. Je partage juste mon expérience personnelle)

Ne croyez pas que tout est parfait. Je me plante encore.

Je dois notamment encore travailler sur ma communication bienveillante.
En tant qu’écrivain, j’ai un langage très imagé, parfois plus poignant que la majorité des gens. Par exemple, il ne se passe pas une semaine sans que j’utilise une expression du genre « je lui aurais bien crevé les yeux »...

Mais j’avance, je progresse, je m’améliore. C’est un cheminement gratifiant et j’en tire une grande satisfaction.

Il reste deux épisodes à cette série. Je vous révélerai ce qui est plus terrible que de parler devant une caméra et de se regarder juste après. Ensuite, je partagerai avec vous le résultat de cet exercice difficile.
Et vous, qu'est-ce qui vous stress ? vous donne le trac ?

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