Prendre la parole, le problème ? (1)
L'article en bleu a été rédigé il y a trois mois, mais j'ai hésité à le rendre public.
Trop personnel ?
Finalement, j'ai décidé de le publier, espérant que mon expérience pourra être utile à quelqu'un d'autre.
Les écrivains savent transmettre des histoires, des émotions sur le papier, mais qu'en est-il quand il s'agit de communiquer de vive voix ?
Je ne parle que pour moi : parler à un public ne me pose pas de problème. Conseillère municipale, j'ai présenté des projets à mes concitoyens, j'ai prononcé un discours le jour de la Fête Nationale, j'ai été la voix off d'une institution culturelle et guide pour des visites guidées.
Par contre, je suis nettement moins à l'aise dans d'autres situations. En tant qu'ex-timide (mes institutrices ne connaissaient pas le son de ma voix), j'ai de la difficulté à réclamer (si on me sert un plat que je n'ai pas commandé, par exemple), à contredire mon interlocuteur (lorsque quelqu'un me demande si mon enfant métisse a déjà rencontré sa mère biologique, je dis oui, sans préciser que c'est moi), etc.
Quand cela est possible, je règle les malentendus par mail, car je m'exprime plus aisément par clavier interposé.
Il faut que cela change !
Je veux reprendre ma vie en main.
Je concluais l'article en annonçant que je m'étais inscrite à une formation en prise de parole, intitulée "Oser s'exprimer en public".
Si vous voulez plus de détails : http://www.exprimerie.ch/
Mes jours de formation ont eu lieu en fin d'année 2019.
Je ne vous livrerai pas le contenu de cette formation, car c'est le métier de Sandra Amodio, une coach formidable.
Mais je partagerai avec vous le résultat de cette expérience, dans une série d'article chaque jeudi du mois de février
(à retrouver dans la catégorie "Mon expérience à l'Exprimerie").
Trop personnel ?
Finalement, j'ai décidé de le publier, espérant que mon expérience pourra être utile à quelqu'un d'autre.
Les écrivains savent transmettre des histoires, des émotions sur le papier, mais qu'en est-il quand il s'agit de communiquer de vive voix ?
Je ne parle que pour moi : parler à un public ne me pose pas de problème. Conseillère municipale, j'ai présenté des projets à mes concitoyens, j'ai prononcé un discours le jour de la Fête Nationale, j'ai été la voix off d'une institution culturelle et guide pour des visites guidées.
Par contre, je suis nettement moins à l'aise dans d'autres situations. En tant qu'ex-timide (mes institutrices ne connaissaient pas le son de ma voix), j'ai de la difficulté à réclamer (si on me sert un plat que je n'ai pas commandé, par exemple), à contredire mon interlocuteur (lorsque quelqu'un me demande si mon enfant métisse a déjà rencontré sa mère biologique, je dis oui, sans préciser que c'est moi), etc.
Quand cela est possible, je règle les malentendus par mail, car je m'exprime plus aisément par clavier interposé.
Il faut que cela change !
Je veux reprendre ma vie en main.
Je concluais l'article en annonçant que je m'étais inscrite à une formation en prise de parole, intitulée "Oser s'exprimer en public".
Si vous voulez plus de détails : http://www.exprimerie.ch/
Mes jours de formation ont eu lieu en fin d'année 2019.
Je ne vous livrerai pas le contenu de cette formation, car c'est le métier de Sandra Amodio, une coach formidable.
Mais je partagerai avec vous le résultat de cette expérience, dans une série d'article chaque jeudi du mois de février
(à retrouver dans la catégorie "Mon expérience à l'Exprimerie").
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