Inhumaines, de Florence Cochet

Florence Cochet a sorti Inhumaines, un recueil de nouvelles dont le point commun est que les personnages centrales sont des femmes (enfin presque).

Je ne sais plus pourquoi je suis allée à sa séance de dédicaces malgré les mots : gothique, anticipation, rétrofuturisme, science-fiction, steampunk, qui me font fuir, normalement.
Et la suite de la quatrième de couverture des Inhumaines ne me destinait pas à lire ses pages. Vampires, sirènes, fétichisme, thérianthropie, hybrides, extraterrestres.

Certains diront que j'y suis allée par amitié, proximité et pour sa plume, mais je suis rentrée avec 14 nouvelles hétéroclites sous le bras, en novembre. J'en ai lu une ou deux, puis j'ai décidé que ce serait mon calendrier de l'Avent (pas dans le thème de Noël, mais ça faisait mon bonbon plus ou moins acidulé... et dans cette période chargée j'ai réussi à finir de lire toutes les histoires des Inhumaines le 29 décembre).

Ce recueil regroupe des nouvelles qui ont participé à des concours (et parfois gagné), ainsi que d'autres pour le plaisir.
J'ai rencontré des femmes vaillantes, qui souvent essaient de sauver leur peau (ouais, ce n'est pas un livre optimiste).
Mes préférées sont Issue de secours et une nouvelle avec un vampire (il y en a plusieurs). Et celles qui ne m'ont moins plu sont Miriam (pourtant, c'est un beau prénom), Sous le dôme et À corps perdu.

Bravo Florence de m'avoir invité dans tes mondes. Je n'aime pas la violence, mais il se pourrait que je mette mon nez dans de nouveaux genres.

L'histoire d'une rencontre :

 Florence Cochet, je la connais d'un forum d'écriture, depuis avant 2018. Elle écrivait des genres que je ne lis pas (Fantasy et autres). Donc, j'avais lu que Un caillou au fond de la poche (qui parle d'harcèlement pour les enfants, que j'ai adoré) et La domination des sens (genre Nuances de Grey, en mieux, mais pas pour les enfants).